En immobilier la régle du bon achat est
l’emplacement encore l’emplacement
et toujours l’emplacement !
Longtemps déconnectés de la réalité, avec des solutions logemens non adaptés aux besoins du marché
Les prix de l’immobilier font face aujourd’hui au gros dilemme du Covid-19
En fond de toile, une question lancinante : la crise va-t-elle amener ces prix à la baisse ?
Comment ce marché immobilier va t’il évoluer ?
Rien n’est moins sûr. Attribuer une baisse des prix à la crise du coronavirus, c’est avancer trop vite en besogne. Pour NOURRESKA , « il n’existe pas pour l’instant de données sur la baisse des prix pour la simple raison que le marché est pour le moment atone et qu’il n’y a pas de transactions.
Nous pensons que cette periode de crise aura un effet sur la baisse des prix, mais il est encore trop tôt pour se prononcer. Sans pour autant être catégorique, on peut dire qu’il y a un risque que la demande solvable va s’affaiblir dans le temps ».
En réalité, il n’y a pas de pression à la vente car une grosse partie du marché est déjà propriétaire foncier : ceux qui veulent vendre (en temps normal) sont ceux qui possèdent des biens et nombreux sont sans endettement.
Les primo-accédants ne sont pas majoritaires sur le marché. Il faudra donc laisser du temps et de la distance au marché pour lire clairement les tendances. Et pour être attractifs, les vendeurs seront amenés à baisser les prix. « Et cela va prendre 4 à 6 mois pour se manifester », avancent les professionnels
Pourtant le constat est unanime : l’immobilier au Maroc souffre de nombreux maux qui l’ont rendu souffrant. Prix décorrélés, inadéquation de l’offre à la demande qui a entraîné mévente, surstock : les ventes stagnent et ont du mal à retrouver les performances de la derniere décennie qui a ete une phase d’équipement .
Cette crise du coronavirus a mis nombre de salarié au chômage ainsi que de nombreuses TPE . Cet evenement majeur a poussé les consommateurs à être plus sélectifs dans leurs achats, n’arrangeant pas les choses. Mais selon de nombreux specialistes immobiliers , il faut d’abord lever une confusion. « La valeur est le montant qu’attend un vendeur de la cession de son bien. Le prix est le montant constaté devant notaire après accord entre les parties. C’est donc la valeur qui est décorrélée du besoin.
Les vendeurs reclament des prix plus elevé que le consomateur n’est plus prêt à payer ». Cette Distinction a donc précipité le marché vers l’impact brutal qu’a eu la crise sur les activités. « La crise sanitaire a eu pour effet de marquer un coup d’arrêt dans l’activité poussant a réduire les visite dès l’annonce du confinement .
Ceci a eu pour effet un décalage des demandes, et des ambitions d’achat reportées sine die.
L’écart entre l’offre et la demande se creuse de facon importante poussant vers une stagnation du marché qui sera durable .
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