La production tourne au ralenti mais l’offre reste très abondante. A Casablanca, les prix ont été revus à la baisse de 10 à 30%. Selon les prévisions, le manque de dynamisme devrait se prolonger jusqu’en 2020.
Toujours pas de regain de dynamisme sur le marché de l’immobilier. A Casablanca, comme dans toutes les principales villes du Royaume, les transactions n’arrivent toujours pas à reprendre. Même si personne ne parle plus de crise immobilière, la morosité règne encore. «L’activité est plate. Hormis la région de Tanger et Tétouan qui a connu un certain dynamisme depuis l’été, nous ne constatons pas d’évolution par rapport à l’année dernière sur les autres villes.
Une faiblesse des ventes qui touche tous les segments, même le social», s’alarme Mohamed Touhami Ouazzani, notaire et ex-président du Conseil national de l’ordre des notaires.
Alors qu’il y a à peine deux ans l’on constatait une certaine euphorie dans le social, aujourd’hui, les promoteurs qui œuvrent dans ce segment, dans le cercle Casablanca -Mohammédia-Berrechid, ont ressenti une baisse de rythme. «Cela est dû à plusieurs raisons, notamment le Fogarim qui permettait aux petites bourses d’accéder à la propriété.
Aujourd’hui il est pratiquement à l’arrêt et le nombre de bénéficiaires de cette garantie a considérablement chuté», confie Hassan Slaoui, notaire à Casablanca.
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